Martin Stahl
/dans /par lesnuitsd1er septembre
Montmartre
Montmartre est un musicien français connu pour son style électro-pop, mélangeant des sonorités modernes avec des éléments acoustiques. Il est reconnu pour sa capacité à créer des atmosphères cinématographiques et émotionnelles dans ses compositions.
Montmartre a choisi son nom de scène en référence à la célèbre colline de Paris, symbole d’un quartier artistique et bohème. Cette ambiance créative et cosmopolite se reflète dans sa musique, qui est à la fois innovante et accessible.
Le prochain album “L’amour” est un album authentique et innovant qui allie sonorités tout droit importées des USA et électro pop-house. L’album se compose de 12 morceaux et de deux collaborations (Britt Lari & Artic Lake).
L’image, dirigée par les photographes Pierre & Florent, est à la fois décalée et solaire. Elle nous emmène sur les traces d’un aventureux Montmartre ayant déjà mis le pied à l’etrier pour cette nouvelle aventure !
Martin Stahl
Né à Stockholm, Martin Stahl grandit au rythme des déménagements liés à la vie professionnelle de ses parents. Ce style de vie lui a permis de développer ses deux plus grandes passions: son goût pour les voyages et son amour pour sa guitare qui le suit partout. Désormais, le Suédois peut se targuer d’allier les deux: sa musique résonne dorénavant au- delà des frontières.
En effet, à l’occasion de la sortie de ‘Rise’, son premier EP de chansons pop-folk anglophones, en février 2016, Martin s’est beaucoup produit sur scène et a notamment réalisé une tournée d’une dizaine de dates en Amérique du Nord avec des arrêts à New-York ou encore Washington.
En France, il a connu tout type de salles: s’il lui est souvent arrivé de jouer dans son bar préféré, Martin a également fait la tournée des Zénith dans le cadre de premières parties d’artistes reconnus tels que Christophe Willem, Zazie ou plus récemment Boulevard des Airs. Une grande complicité s’est créée avec ces derniers. Il les a accompagnés sur de nombreuses dates et destinations ; ils ont partagé l’affiche en Polynésie française et c’est sur la plage, en tournée, qu’a éclot leur collaboration sur le projet Trackhead.
Des collaborations, Martin en a connu d’autres puisqu’il lui arrive d’écrire avec sa sœur, Fredrika Stahl. Il a désormais un nouveau camarade de jeu, Alex Layan, avec qui il a donné de nouvelles sonorités à ses compositions.
‘Still In Love’ est le premier morceau qui témoigne de ce virage plus electro-pop, plus ensoleillé, qui vient d’être emprunté. Véritable bijou pop qui nous ferait presque oublier que l’été se termine, ‘Still in Love’ est réjouissant et entrainant alors même que Martin l’a composé dans une période de remise en question comme beaucoup d’artistes en connaissent. Ecrit en pleine lutte contre le syndrome de la page blanche, le texte de ‘Still in Love’ pourrait être lu de différentes manières. De qui Martin est-il toujours amoureux ? Si l’on se fie à ses confidences, c’est à son Art qu’il s’adresse. Il est amoureux de La Musique et nul doute qu’après écoute, vous tomberez sous le charme de la sienne !
Montmartre
/0 Commentaires/dans /par lesnuitsd1er septembre
Montmartre
Montmartre est un musicien français connu pour son style électro-pop, mélangeant des sonorités modernes avec des éléments acoustiques. Il est reconnu pour sa capacité à créer des atmosphères cinématographiques et émotionnelles dans ses compositions.
Montmartre a choisi son nom de scène en référence à la célèbre colline de Paris, symbole d’un quartier artistique et bohème. Cette ambiance créative et cosmopolite se reflète dans sa musique, qui est à la fois innovante et accessible.
Le prochain album “L’amour” est un album authentique et innovant qui allie sonorités tout droit importées des USA et électro pop-house. L’album se compose de 12 morceaux et de deux collaborations (Britt Lari & Artic Lake).
L’image, dirigée par les photographes Pierre & Florent, est à la fois décalée et solaire. Elle nous emmène sur les traces d’un aventureux Montmartre ayant déjà mis le pied à l’etrier pour cette nouvelle aventure !
Martin Stahl
Né à Stockholm, Martin Stahl grandit au rythme des déménagements liés à la vie professionnelle de ses parents. Ce style de vie lui a permis de développer ses deux plus grandes passions: son goût pour les voyages et son amour pour sa guitare qui le suit partout. Désormais, le Suédois peut se targuer d’allier les deux: sa musique résonne dorénavant au- delà des frontières.
En effet, à l’occasion de la sortie de ‘Rise’, son premier EP de chansons pop-folk anglophones, en février 2016, Martin s’est beaucoup produit sur scène et a notamment réalisé une tournée d’une dizaine de dates en Amérique du Nord avec des arrêts à New-York ou encore Washington.
En France, il a connu tout type de salles: s’il lui est souvent arrivé de jouer dans son bar préféré, Martin a également fait la tournée des Zénith dans le cadre de premières parties d’artistes reconnus tels que Christophe Willem, Zazie ou plus récemment Boulevard des Airs. Une grande complicité s’est créée avec ces derniers. Il les a accompagnés sur de nombreuses dates et destinations ; ils ont partagé l’affiche en Polynésie française et c’est sur la plage, en tournée, qu’a éclot leur collaboration sur le projet Trackhead.
Des collaborations, Martin en a connu d’autres puisqu’il lui arrive d’écrire avec sa sœur, Fredrika Stahl. Il a désormais un nouveau camarade de jeu, Alex Layan, avec qui il a donné de nouvelles sonorités à ses compositions.
‘Still In Love’ est le premier morceau qui témoigne de ce virage plus electro-pop, plus ensoleillé, qui vient d’être emprunté. Véritable bijou pop qui nous ferait presque oublier que l’été se termine, ‘Still in Love’ est réjouissant et entrainant alors même que Martin l’a composé dans une période de remise en question comme beaucoup d’artistes en connaissent. Ecrit en pleine lutte contre le syndrome de la page blanche, le texte de ‘Still in Love’ pourrait être lu de différentes manières. De qui Martin est-il toujours amoureux ? Si l’on se fie à ses confidences, c’est à son Art qu’il s’adresse. Il est amoureux de La Musique et nul doute qu’après écoute, vous tomberez sous le charme de la sienne !
Peter Deaves
/dans /par lesnuitsd26 août
Bernhoft
Bernhoft, nominé aux Grammy Awards, est Jarle Bernhoft, un musicien, auteur-compositeur et artiste exceptionnellement talentueux, ainsi qu’un homme tout à fait sympathique, originaire d’une vallée située juste au nord d’Oslo, en Norvège.
Ce favori du public, acclamé par la critique et récompensé, a sorti une série d’excellents albums et a effectué des tournées régulières à guichets fermés dans le monde entier. Plus récemment, il a participé à deux des plus grands succès télévisés de Norvège, en tant que participant à l’émission «Hver gang vi møtes» et en tant que mentor dans l’émission «The Voice».
Son nouvel album «Avenue of Loveless Hearts» sortira cet automne.
Peter Deaves
Peter Deaves est un auteur-compositeur-interprète folk britannique originaire de Liverpool, biberonné au son des Beatles et des ballades irlandaises.
Funambule musical mariant country-rock 60’s (Ricky Nelson, Jim Reeves et Elvis), poésie sobre à la Leonard Cohen et une folk britannique plus ancrée, Deaves nous chante ses souvenirs de sa voix chaude et authentique. Les pianos, violons et lapsteels nous rappellent que la nostalgie est une bonne chose.
Avec un master en philosophie en poche, il commence par travailler pour des think-tank travaillistes à Londres, puis participe à la campagne de Barack Obama à Chicago, découvrant à l’occasion l’Americana. C’est alors qu’il décide de tout plaquer et s’exile en France, terre de création. Il commence alors par organiser des soirées privées “loft sessions” à Belleville, regroupant des artistes du monde entier et sort quelques titres en indépendant. Désormais installé près de la forêt de Fontainebleau, le calme de la nature et des feux de bois l’accompagnent dans la composition de ses chansons folk, sensibles et engagées.
Son talent de songwriter, sa voix envoûtante et sa présence scénique sont très vite remarqués notamment par Rolling Stone Magazine et certains de ses titres seront intégrés aux playlists de la BBC et de FIP. Débuts prometteurs qui lui font signer un contrat chez Le Poulpe en vue de la sortie de son premier album en septembre 2023.
Nouveau single « The Song Never Written » , sorti le 14 avril. Le second single « Nowhere Boy », sort le 12 mai.
THE SONG NEVER WRITTEN
Le clip de « The Song Never Written », réalisé par Lucas Hauchard, a été tourné dans les environs de Liverpool, ville natale de Peter, et sur Crosby Beach à côté des statues en fonte d’Antony Gormley. L’esthétique léchée du clip est mise au service de ce retour aux sources et à la vaine recherche d’une amour perdu. «Je savais que cette personne ne m’aimait pas vraiment et qu’un jour nous cesserions d’être « nous ». J’espérais qu’elle m’écrirait une chanson aussi hypnotisante que celle pour son ex. Une chanson juste pour moi. Autant que je sache, cela ne s’est jamais produit. Alors je l’ai écrite à sa place. »
Bernhoft
/dans /par lesnuitsd26 août
Bernhoft
Bernhoft, nominé aux Grammy Awards, est Jarle Bernhoft, un musicien, auteur-compositeur et artiste exceptionnellement talentueux, ainsi qu’un homme tout à fait sympathique, originaire d’une vallée située juste au nord d’Oslo, en Norvège.
Ce favori du public, acclamé par la critique et récompensé, a sorti une série d’excellents albums et a effectué des tournées régulières à guichets fermés dans le monde entier. Plus récemment, il a participé à deux des plus grands succès télévisés de Norvège, en tant que participant à l’émission «Hver gang vi møtes» et en tant que mentor dans l’émission «The Voice».
Son nouvel album «Avenue of Loveless Hearts» sortira cet automne.
Peter Deaves
Peter Deaves est un auteur-compositeur-interprète folk britannique originaire de Liverpool, biberonné au son des Beatles et des ballades irlandaises.
Funambule musical mariant country-rock 60’s (Ricky Nelson, Jim Reeves et Elvis), poésie sobre à la Leonard Cohen et une folk britannique plus ancrée, Deaves nous chante ses souvenirs de sa voix chaude et authentique. Les pianos, violons et lapsteels nous rappellent que la nostalgie est une bonne chose.
Avec un master en philosophie en poche, il commence par travailler pour des think-tank travaillistes à Londres, puis participe à la campagne de Barack Obama à Chicago, découvrant à l’occasion l’Americana. C’est alors qu’il décide de tout plaquer et s’exile en France, terre de création. Il commence alors par organiser des soirées privées “loft sessions” à Belleville, regroupant des artistes du monde entier et sort quelques titres en indépendant. Désormais installé près de la forêt de Fontainebleau, le calme de la nature et des feux de bois l’accompagnent dans la composition de ses chansons folk, sensibles et engagées.
Son talent de songwriter, sa voix envoûtante et sa présence scénique sont très vite remarqués notamment par Rolling Stone Magazine et certains de ses titres seront intégrés aux playlists de la BBC et de FIP. Débuts prometteurs qui lui font signer un contrat chez Le Poulpe en vue de la sortie de son premier album en septembre 2023.
Nouveau single « The Song Never Written » , sorti le 14 avril. Le second single « Nowhere Boy », sort le 12 mai.
THE SONG NEVER WRITTEN
Le clip de « The Song Never Written », réalisé par Lucas Hauchard, a été tourné dans les environs de Liverpool, ville natale de Peter, et sur Crosby Beach à côté des statues en fonte d’Antony Gormley. L’esthétique léchée du clip est mise au service de ce retour aux sources et à la vaine recherche d’une amour perdu. «Je savais que cette personne ne m’aimait pas vraiment et qu’un jour nous cesserions d’être « nous ». J’espérais qu’elle m’écrirait une chanson aussi hypnotisante que celle pour son ex. Une chanson juste pour moi. Autant que je sache, cela ne s’est jamais produit. Alors je l’ai écrite à sa place. »
Xavier Polycarpe
/dans /par lesnuitsd18 août
Julien Granel
(DJ SET)
Deux ans après son premier EP « Bagarre Bagarre », Julien Granel signe avec brio la bande son de l’été et poursuit son odyssée chromatique avec « Cooleur », son premier album solaire et envoûtant.
Tandis que bruissent les premiers accords de Cooleur, des souvenirs épars d’euphorie juvénile, de fêtes foraines et de bubble gum reviennent en mémoire. Avec ses mélodies orchestrales, ses accents pop et funky et ses collaborations explosives, « Cooleur » apparaît comme une ode à la joie chromatique et viendra assurément faire secouer la tête des cool kids. Pour son retour en fanfare, Julien s’est entouré de Pedro Winter, le patron du label Ed Banger, du duo Montréalais Chromeo et de Jean Charles de Castelbajac.
Julien Granel n’en est pas à son premier coup d’essai en matière de pop subtile et contagieuse. Depuis sa découverte fondatrice de Mika à l’adolescence, il n’a eu de cesse d’étoffer un wonderland baroque et chatoyant, alliant le cool et la couleur – et dont Cooleur est le formidable aboutissement. Premier prix du conservatoire, Julien Granel a une épiphanie harmonique lors d’un éveil musical. A 12 ans, il supplie ses parents de lui acheter « Life in Cartoon Motion » de Mika, un album qui l’éblouit autant par ce qu’il voit que par ce qu’il entend. Grâce à Mika, que les journalistes comparent à Freddy Mercury, Julien s’éprend de Queen, puis plus tard de David Bowie, Elton John, et Prince, avant de se prendre en pleine face l’explosion psychédélique des Beatles et de Jamiroquai. Résolu à embrasser cette British pop orchestrale et entêtante, Julien intègre le Conservatoire où il fait ses gammes pendant quatorze ans. A ses heures perdues, il s’initie aux musiques électroniques sur un ordinateur portable familial et se produit les week-ends avec un groupe électro-rock dans de petits bars de la région des Landes.
Sa rencontre avec son manager met un sérieux coup d’accélérateur à un parcours sans faute. Une fois son diplôme du conservatoire en poche et après un détour express en fac de musicologie à Bordeaux, ils vont toquer à la porte de Cinq7, son label, qui décide de signer Julien séance tenante. Lors d’un concert à Bordeaux, la carrière de Julien prend un tournant décisif. Ce soir-là, il se produit aux côtés d’Angèle. La chanteuse Belge est d’emblée séduite et lui propose de l’accompagner dans une tournée des Zéniths de près de 40 dates. Pendant deux ans, Julien Granel rode à ses côtés des mélodies en première partie de spectacle et parfait une performance scénique magnétique et détonante.
Entre les concerts, Julien donne naissance à deux singles et un EP remarqués : Le créateur de souliers Christian Louboutin tombe sous le charme de cet univers déluré et met Julien au défi de concevoir la bande-son de sa campagne Printemps-été 2022 pour le monde. Ce sera « Mirage », un titre explosif agrémenté d’un clip en réalité augmentée phénoménal. Grisé par la capacité de Julien à orchestrer une symbiose parfaite entre la couleur et l’univers de l’enfance, Jean-Charles de Castelbajac, autre enfant terrible des années Palace, sacre Julien « chevalier de l’arc en ciel » avant de lui confier l’habillage de son exposition-atelier Pour son premier long-format, Julien a délaissé le home-studio pour investir le mythique studio Motorbass où il concocte avec l’aide de son fidèle producteur Julien Galner, ancien du groupe Château Marmont, un album beaucoup plus organique et acoustique que les projets précédents, et où se mêlent un orchestre de cuivres et des cordes, les riffs d’Ulysse Cottin, le guitariste des Papooz, la section rythmique léchée de Bastien, le batteur du groupe Catastrophe, et le grain si singulier des synthés vintage et des vieux magnétos à bande. A travers cet album délibérément cool, truffé de groove irrésistibles, de jam brûlantes et de pépites feel good, Julien Granel nous déroule le tapis rouge pour un été supa dupa cool. JULIEN GRANEL
« Défait » (2019), « Danse Encore » (2019) et « Bagarre Bagarre » (2020).
« Le peuple de demain ». Dans la foulée, Julien signe avec Léna Situations le tube électrisant « A la folie », sur lequel la YouTubeuse vient poser sa voix.
COOLEUR
Premier album / Sortie le 17 juin 2022
Double Vinyle & CD
Xavier Polycarpe
La musique sur tous les fronts, viscérale, nécessaire et transcendante : partout où il le peut, Xavier Polycarpe inscrit son ardeur créative, son amour des sons justes et multiples. Avec Gush d’abord, quatuor rock aux deux albums, de nombreuses tournées internationales et une nomination aux Victoires de la Musique (french awards), puis avec Adan & Xavi y los Imanes, parenthèse en duo portée par des ballades pop et lyriques. Il forme ensuite Macadam Crocodile, aux accents électro-disco, qu’il défend depuis dans des lives intenses et frénétiques. Véritable artiste slasher, Xavier emmène ses compositions jusqu’au cinéma, pour la BO de Five (2016) avec Gush, ou encore J’irai mourir dans les Carpates (2020). Une tendance prolifique qu’il déploie aussi dans l’activisme écologique en rejoignant en 2017 le mouvement Colibris pour une tournée française et en co-composant la musique du film de Cyril Dion, Animal (2021).
Accompagné, nourri et entouré des autres, Xavier Polycarpe l’a toujours été. Mais si la musique est aussi l’expression d’une relation à soi-même, alors Xavier veut laisser éclore ce qui mûri en lui depuis un certains temps. Un projet solo, une nouvelle page de son histoire musicale, qu’il a aussi à cœur de faire vivre sur scène, terrain de jeu et de partage privilégié́ , pour donner à voir et à entendre l’énergie solaire et fiévreuse qui l’anime dans chacun de ses projets. Des projets qui ont mené Xavier à façonner un son bien à lui, organique, vivant et frais. Un retour aussi à des compositionś plus franches, pour dire les choses de la vie et le temps qui passe, le vertige de la paternité et la valeur de l’instant présent.
Spontanés, bruts et mélodiques, ses nouveaux morceaux, enregistrés en partie sur bandes dans son home studio, font se côtoyer des instrus faussement désinvoltes et une voix chaleureuse et écorchée.
Il sortira son 1er EP au printemps 2023, qu’il célèbrera sur la scène du Café de la Danse (Paris) le 16 juin.
Julien Granel (DJ SET)
/dans /par lesnuitsd18 août
Julien Granel
(DJ SET)
Deux ans après son premier EP « Bagarre Bagarre », Julien Granel signe avec brio la bande son de l’été et poursuit son odyssée chromatique avec « Cooleur », son premier album solaire et envoûtant.
Tandis que bruissent les premiers accords de Cooleur, des souvenirs épars d’euphorie juvénile, de fêtes foraines et de bubble gum reviennent en mémoire. Avec ses mélodies orchestrales, ses accents pop et funky et ses collaborations explosives, « Cooleur » apparaît comme une ode à la joie chromatique et viendra assurément faire secouer la tête des cool kids. Pour son retour en fanfare, Julien s’est entouré de Pedro Winter, le patron du label Ed Banger, du duo Montréalais Chromeo et de Jean Charles de Castelbajac.
Julien Granel n’en est pas à son premier coup d’essai en matière de pop subtile et contagieuse. Depuis sa découverte fondatrice de Mika à l’adolescence, il n’a eu de cesse d’étoffer un wonderland baroque et chatoyant, alliant le cool et la couleur – et dont Cooleur est le formidable aboutissement. Premier prix du conservatoire, Julien Granel a une épiphanie harmonique lors d’un éveil musical. A 12 ans, il supplie ses parents de lui acheter « Life in Cartoon Motion » de Mika, un album qui l’éblouit autant par ce qu’il voit que par ce qu’il entend. Grâce à Mika, que les journalistes comparent à Freddy Mercury, Julien s’éprend de Queen, puis plus tard de David Bowie, Elton John, et Prince, avant de se prendre en pleine face l’explosion psychédélique des Beatles et de Jamiroquai. Résolu à embrasser cette British pop orchestrale et entêtante, Julien intègre le Conservatoire où il fait ses gammes pendant quatorze ans. A ses heures perdues, il s’initie aux musiques électroniques sur un ordinateur portable familial et se produit les week-ends avec un groupe électro-rock dans de petits bars de la région des Landes.
Sa rencontre avec son manager met un sérieux coup d’accélérateur à un parcours sans faute. Une fois son diplôme du conservatoire en poche et après un détour express en fac de musicologie à Bordeaux, ils vont toquer à la porte de Cinq7, son label, qui décide de signer Julien séance tenante. Lors d’un concert à Bordeaux, la carrière de Julien prend un tournant décisif. Ce soir-là, il se produit aux côtés d’Angèle. La chanteuse Belge est d’emblée séduite et lui propose de l’accompagner dans une tournée des Zéniths de près de 40 dates. Pendant deux ans, Julien Granel rode à ses côtés des mélodies en première partie de spectacle et parfait une performance scénique magnétique et détonante.
Entre les concerts, Julien donne naissance à deux singles et un EP remarqués : Le créateur de souliers Christian Louboutin tombe sous le charme de cet univers déluré et met Julien au défi de concevoir la bande-son de sa campagne Printemps-été 2022 pour le monde. Ce sera « Mirage », un titre explosif agrémenté d’un clip en réalité augmentée phénoménal. Grisé par la capacité de Julien à orchestrer une symbiose parfaite entre la couleur et l’univers de l’enfance, Jean-Charles de Castelbajac, autre enfant terrible des années Palace, sacre Julien « chevalier de l’arc en ciel » avant de lui confier l’habillage de son exposition-atelier Pour son premier long-format, Julien a délaissé le home-studio pour investir le mythique studio Motorbass où il concocte avec l’aide de son fidèle producteur Julien Galner, ancien du groupe Château Marmont, un album beaucoup plus organique et acoustique que les projets précédents, et où se mêlent un orchestre de cuivres et des cordes, les riffs d’Ulysse Cottin, le guitariste des Papooz, la section rythmique léchée de Bastien, le batteur du groupe Catastrophe, et le grain si singulier des synthés vintage et des vieux magnétos à bande. A travers cet album délibérément cool, truffé de groove irrésistibles, de jam brûlantes et de pépites feel good, Julien Granel nous déroule le tapis rouge pour un été supa dupa cool. JULIEN GRANEL
« Défait » (2019), « Danse Encore » (2019) et « Bagarre Bagarre » (2020).
« Le peuple de demain ». Dans la foulée, Julien signe avec Léna Situations le tube électrisant « A la folie », sur lequel la YouTubeuse vient poser sa voix.
COOLEUR
Premier album / Sortie le 17 juin 2022
Double Vinyle & CD
Xavier Polycarpe
La musique sur tous les fronts, viscérale, nécessaire et transcendante : partout où il le peut, Xavier Polycarpe inscrit son ardeur créative, son amour des sons justes et multiples. Avec Gush d’abord, quatuor rock aux deux albums, de nombreuses tournées internationales et une nomination aux Victoires de la Musique (french awards), puis avec Adan & Xavi y los Imanes, parenthèse en duo portée par des ballades pop et lyriques. Il forme ensuite Macadam Crocodile, aux accents électro-disco, qu’il défend depuis dans des lives intenses et frénétiques. Véritable artiste slasher, Xavier emmène ses compositions jusqu’au cinéma, pour la BO de Five (2016) avec Gush, ou encore J’irai mourir dans les Carpates (2020). Une tendance prolifique qu’il déploie aussi dans l’activisme écologique en rejoignant en 2017 le mouvement Colibris pour une tournée française et en co-composant la musique du film de Cyril Dion, Animal (2021).
Accompagné, nourri et entouré des autres, Xavier Polycarpe l’a toujours été. Mais si la musique est aussi l’expression d’une relation à soi-même, alors Xavier veut laisser éclore ce qui mûri en lui depuis un certains temps. Un projet solo, une nouvelle page de son histoire musicale, qu’il a aussi à cœur de faire vivre sur scène, terrain de jeu et de partage privilégié́ , pour donner à voir et à entendre l’énergie solaire et fiévreuse qui l’anime dans chacun de ses projets. Des projets qui ont mené Xavier à façonner un son bien à lui, organique, vivant et frais. Un retour aussi à des compositionś plus franches, pour dire les choses de la vie et le temps qui passe, le vertige de la paternité et la valeur de l’instant présent.
Spontanés, bruts et mélodiques, ses nouveaux morceaux, enregistrés en partie sur bandes dans son home studio, font se côtoyer des instrus faussement désinvoltes et une voix chaleureuse et écorchée.
Il sortira son 1er EP au printemps 2023, qu’il célèbrera sur la scène du Café de la Danse (Paris) le 16 juin.
Bobbie
/dans /par lesnuitsd11 août
Et ne jamais oublier l’essence de l’artistique. » Une sagesse et une authenticité auxquelles ses aînés sont sensibles. En 2019, Philippine Lavrey remporte un challenge organisé par Matt Pokora et, là aussi, est invitée à ouvrir tous les concerts de la tournée de ce dernier. Sur l’impressionnante scène de Bercy, elle ne se démonte pas et teste ses propres compositions.
Cette expérience mémorable lui donne des ailes. Elle multiplie les opportunités et écrit pour les autres, signant notamment le morceau « Si je m’en allais » sur le dernier album de Slimane, et le morceau « Jamais baisser les yeux » sur le dernier album de Jenifer. Au même moment, elle rejoint Parlophone (Warner Music France) et fait la rencontre de Benson Boone, promesse de la pop américaine. Elle partage avec lui la ballade de l’hiver 2023, « In the Stars » – un titre resté 2 mois dans le top 10 du classement général radio français, et autant de temps dans le top 10 Shazam France. C’est désormais plus assurée et mature que Philippine Lavrey se lance dans un premier projet solo à venir ; des chansons pop-folk organiques, écrites au cordeau, parfaitement alignées avec ses talents de musicienne. « J’ai vécu ce que je devais vivre, y compris des moments difficiles. Aujourd’hui, j’ai grandi, je vais mieux. »
En témoigne le premier single tiré de son projet à venir, « Tomber en amour », qui joue sur les mots, entre l’expression québécoise et le vocabulaire de la rupture. « L’amour ne suffit pas toujours, et il ne faut pas attendre de se détester pour partir… », glisse Philippine Lavrey. Partagé entre mélancolie et espoir, tendresse et douce ironie, « Tomber en amour » met en relief le timbre intemporel de l’artiste,
son jeu de guitare folk, sans en oublier pour autant la pop attitude des arrangements. « Même si on prétend faire de la variété française, le piano ou la guitare doivent prendre la première place », affirme Philippine, consciente qu’une bonne chanson se défend aussi dans sa version la plus épurée. En cela,
elle s’inscrit dans le sillage de ses modèles, de Vianney à John Mayer, de Taylor Swift à France Gall, de Miley Cyrus à Ben Mazué. Mais sans oublier sa singularité, cultivée depuis l’enfance, celle d’une musicienne accomplie qui assume autant sa passion de la chanson française que son amour pour une
pop aux multiples promesses… À son image !
Philippine Lavrey
C’est une voix à part, où le grain folk se marie au velours pop, où les mots n’en résonnent que plus fort. Autrice, compositrice et instrumentiste, Philippine Lavrey fait partie des jeunes chanteuses actuelles les plus prometteuses. Parce que sa curiosité ne lui a jamais rien interdit, et que son talent ne cesse de dévoiler de nouvelles facettes.
Tout a commencé au Havre, il y a une vingtaine d’années. La mère de Philippine Lavrey joue de l’accordéon, ce qui titille l’oreille de la petite fille qui s’attelle au piano. Toute seule ! Si elle passe par les incontournables années de solfège, elle revient vite à ce qui lui convient le mieux : la liberté de l’autodidacte. A 13 ans, elle apprend la guitare et débute le chant. Ce n’est qu’après le bac, durant ses
études socio-culturelles en animations sociales que Philippine découvre la magie de la chanson française. En travaillant en maison de retraite, en voyant les visages des personnes âgées s’illuminer sur des morceaux traditionnels normands ou des ritournelles des années 50, la jeune femme de 20 ans se débarrasse de tous ses préjugés. « Un joli texte fait toujours son effet, peu importe l’époque », résume Philippine Lavrey… qui se lance dans l’écriture en français, tombant amoureuse de Michel Berger, Michel Delpech ou encore Alain Souchon, qu’elle reprend régulièrement sur les réseaux sociaux, avec un succès auquel elle ne s’attendait pas.
A 20 ans, elle s’installe à Paris et se produit dans des cafés-concerts et des open mics. Ses armes, elle les fait sur scène, accompagnée de sa guitare ou du piano, et gagne ses premiers petits cachets. Avec Théo Isambourg, rencontré dans un piano bar, ils forment un duo de reprises du corpus pop des années 70 et, repérés par une major, assurent la première partie de Patrick Fiori lors d’une grande tournée de Zéniths. Elle, qui se préparait à un monde de requins se retrouve face à la bienveillance et à la reconnaissance de ses pairs, conquis par son talent de conteuse musicale. Depuis 2018, Philippine Lavrey est même recrutée par l’équipe des Enfoirés, en tant que répétitrice. Elle devient plus consciente du métier d’artiste et saisit tous les enjeux de l’industrie de l’entertainment. « Quand on est artiste, il ne s’agit pas que de business, commente-t-elle. Il ne faut pas se perdre dans l’image, l’égo ou les réseaux sociaux.
BOBBIE
Parisienne pure souche, Bobbie n’en est pas moins la plus américaine des chanteuses françaises ! En droite ligne de Joni Mitchell et Dolly Parton, cette guitariste autodidacte balade sa Martin de 1947 au gré d’une Americana entre grandiloquence et nostalgie. Parfois appelé alt-country, c’est le genre musical américain par excellence, sans cliché, tout en honnêteté.
Marquée par la disparition de son père alors qu’elle n’était qu’une enfant, Bobbie fait ses premières armes de mélomane plongée dans sa collection de vinyles de blues et de jazz. Grâce à sa voix hors du temps, Bobbie est rapidement repérée par des compositeurs de haute volée et participe à l’enregistrement de plusieurs bandes-originales de films. Elle collabore ainsi avec Michael Stevens (Gran Torino, Invictus, Mystic River) pour « La Variabile umana » en 2013, puis est choisie par James Newton
Howard (Batman Begins, Le Sixième sens) pour reprendre un morceau de la B.O de Hunger Games sur la scène de la Salle Pleyel en 2017. En 2019, elle coécrit deux morceaux pour le premier long-métrage de Caroline Fourest, « Soeurs d’armes », avec Mathieu Lamboley (Arsène Lupin, Minuscule). En 2022, elle collabore avec Stéphane Moucha sur la série télévisée de France 2 « Les petits meurtres d’Agatha Christie » et avec Philippe Kelly sur le long-métrage d’Olivier Baroux, « Menteur ».
C’est au printemps 2019 que la jeune femme enregistre son premier EP, « An Elegy For », accompagnée par les musiciens de Lou Doillon et Étienne Daho et produit par Sébastien Gohier, ingénieur du son de renom (Louis Chédid, -M-, Michel Legrand).
C’est après cette sortie que Bobbie est repérée par l’auteurcompositeur et interprète kenyan J.S. Ondara, qui lui propose d’assurer ses premières parties en France fin 2019. Profitant de la crise sanitaire pour écrire plusieurs morceaux, elle sort plusieurs singles en 2021 «Lost Arcadia», «Solace» and «Old mountain music».
En juillet 2022, elle fait partie de la programmation officielle des Francofolies de la Rochelle.Elle ouvre également en début d’année pour l’artiste Jean-Baptiste Guégan à l’Accor Arena Bercy et au Zénith de Nantes, et participe à l’émission Basique.
Son premier album est prévu pour le début d’année 2023.
Philippine Lavrey
/dans /par lesnuitsd11 août
Et ne jamais oublier l’essence de l’artistique. » Une sagesse et une authenticité auxquelles ses aînés sont sensibles. En 2019, Philippine Lavrey remporte un challenge organisé par Matt Pokora et, là aussi, est invitée à ouvrir tous les concerts de la tournée de ce dernier. Sur l’impressionnante scène de Bercy, elle ne se démonte pas et teste ses propres compositions.
Cette expérience mémorable lui donne des ailes. Elle multiplie les opportunités et écrit pour les autres, signant notamment le morceau « Si je m’en allais » sur le dernier album de Slimane, et le morceau « Jamais baisser les yeux » sur le dernier album de Jenifer. Au même moment, elle rejoint Parlophone (Warner Music France) et fait la rencontre de Benson Boone, promesse de la pop américaine. Elle partage avec lui la ballade de l’hiver 2023, « In the Stars » – un titre resté 2 mois dans le top 10 du classement général radio français, et autant de temps dans le top 10 Shazam France. C’est désormais plus assurée et mature que Philippine Lavrey se lance dans un premier projet solo à venir ; des chansons pop-folk organiques, écrites au cordeau, parfaitement alignées avec ses talents de musicienne. « J’ai vécu ce que je devais vivre, y compris des moments difficiles. Aujourd’hui, j’ai grandi, je vais mieux. »
En témoigne le premier single tiré de son projet à venir, « Tomber en amour », qui joue sur les mots, entre l’expression québécoise et le vocabulaire de la rupture. « L’amour ne suffit pas toujours, et il ne faut pas attendre de se détester pour partir… », glisse Philippine Lavrey. Partagé entre mélancolie et espoir, tendresse et douce ironie, « Tomber en amour » met en relief le timbre intemporel de l’artiste,
son jeu de guitare folk, sans en oublier pour autant la pop attitude des arrangements. « Même si on prétend faire de la variété française, le piano ou la guitare doivent prendre la première place », affirme Philippine, consciente qu’une bonne chanson se défend aussi dans sa version la plus épurée. En cela,
elle s’inscrit dans le sillage de ses modèles, de Vianney à John Mayer, de Taylor Swift à France Gall, de Miley Cyrus à Ben Mazué. Mais sans oublier sa singularité, cultivée depuis l’enfance, celle d’une musicienne accomplie qui assume autant sa passion de la chanson française que son amour pour une
pop aux multiples promesses… À son image !
Philippine Lavrey
C’est une voix à part, où le grain folk se marie au velours pop, où les mots n’en résonnent que plus fort. Autrice, compositrice et instrumentiste, Philippine Lavrey fait partie des jeunes chanteuses actuelles les plus prometteuses. Parce que sa curiosité ne lui a jamais rien interdit, et que son talent ne cesse de dévoiler de nouvelles facettes.
Tout a commencé au Havre, il y a une vingtaine d’années. La mère de Philippine Lavrey joue de l’accordéon, ce qui titille l’oreille de la petite fille qui s’attelle au piano. Toute seule ! Si elle passe par les incontournables années de solfège, elle revient vite à ce qui lui convient le mieux : la liberté de l’autodidacte. A 13 ans, elle apprend la guitare et débute le chant. Ce n’est qu’après le bac, durant ses
études socio-culturelles en animations sociales que Philippine découvre la magie de la chanson française. En travaillant en maison de retraite, en voyant les visages des personnes âgées s’illuminer sur des morceaux traditionnels normands ou des ritournelles des années 50, la jeune femme de 20 ans se débarrasse de tous ses préjugés. « Un joli texte fait toujours son effet, peu importe l’époque », résume Philippine Lavrey… qui se lance dans l’écriture en français, tombant amoureuse de Michel Berger, Michel Delpech ou encore Alain Souchon, qu’elle reprend régulièrement sur les réseaux sociaux, avec un succès auquel elle ne s’attendait pas.
A 20 ans, elle s’installe à Paris et se produit dans des cafés-concerts et des open mics. Ses armes, elle les fait sur scène, accompagnée de sa guitare ou du piano, et gagne ses premiers petits cachets. Avec Théo Isambourg, rencontré dans un piano bar, ils forment un duo de reprises du corpus pop des années 70 et, repérés par une major, assurent la première partie de Patrick Fiori lors d’une grande tournée de Zéniths. Elle, qui se préparait à un monde de requins se retrouve face à la bienveillance et à la reconnaissance de ses pairs, conquis par son talent de conteuse musicale. Depuis 2018, Philippine Lavrey est même recrutée par l’équipe des Enfoirés, en tant que répétitrice. Elle devient plus consciente du métier d’artiste et saisit tous les enjeux de l’industrie de l’entertainment. « Quand on est artiste, il ne s’agit pas que de business, commente-t-elle. Il ne faut pas se perdre dans l’image, l’égo ou les réseaux sociaux.
BOBBIE
Parisienne pure souche, Bobbie n’en est pas moins la plus américaine des chanteuses françaises ! En droite ligne de Joni Mitchell et Dolly Parton, cette guitariste autodidacte balade sa Martin de 1947 au gré d’une Americana entre grandiloquence et nostalgie. Parfois appelé alt-country, c’est le genre musical américain par excellence, sans cliché, tout en honnêteté.
Marquée par la disparition de son père alors qu’elle n’était qu’une enfant, Bobbie fait ses premières armes de mélomane plongée dans sa collection de vinyles de blues et de jazz. Grâce à sa voix hors du temps, Bobbie est rapidement repérée par des compositeurs de haute volée et participe à l’enregistrement de plusieurs bandes-originales de films. Elle collabore ainsi avec Michael Stevens (Gran Torino, Invictus, Mystic River) pour « La Variabile umana » en 2013, puis est choisie par James Newton
Howard (Batman Begins, Le Sixième sens) pour reprendre un morceau de la B.O de Hunger Games sur la scène de la Salle Pleyel en 2017. En 2019, elle coécrit deux morceaux pour le premier long-métrage de Caroline Fourest, « Soeurs d’armes », avec Mathieu Lamboley (Arsène Lupin, Minuscule). En 2022, elle collabore avec Stéphane Moucha sur la série télévisée de France 2 « Les petits meurtres d’Agatha Christie » et avec Philippe Kelly sur le long-métrage d’Olivier Baroux, « Menteur ».
C’est au printemps 2019 que la jeune femme enregistre son premier EP, « An Elegy For », accompagnée par les musiciens de Lou Doillon et Étienne Daho et produit par Sébastien Gohier, ingénieur du son de renom (Louis Chédid, -M-, Michel Legrand).
C’est après cette sortie que Bobbie est repérée par l’auteurcompositeur et interprète kenyan J.S. Ondara, qui lui propose d’assurer ses premières parties en France fin 2019. Profitant de la crise sanitaire pour écrire plusieurs morceaux, elle sort plusieurs singles en 2021 «Lost Arcadia», «Solace» and «Old mountain music».
En juillet 2022, elle fait partie de la programmation officielle des Francofolies de la Rochelle.Elle ouvre également en début d’année pour l’artiste Jean-Baptiste Guégan à l’Accor Arena Bercy et au Zénith de Nantes, et participe à l’émission Basique.
Son premier album est prévu pour le début d’année 2023.
Jude Todd
/dans /par lesnuitsd4 août
Rose
Rose, c’est La liste, un titre désormais classique de la chanson française ; c’est Ciao Bella, Larmes à paillettes … et près de 80 chansons. C’est une voix unique, une auteure-compositeure-interprète de 5 albums, vendus à plus de 800 000 exemplaires.
Un double disque de platine, deux disques d’or et le Globe de cristal de la Meilleure Interprète féminine (2008).
Ancienne institutrice, c’est d’une rupture que se libère le désir de faire partager ses mots. Un univers poétique, grinçant, obscur parfois. Quand on l’écoute on a l’impression de s’entendre penser, mais en mieux. Rose a le courage de se livrer dans ses chansons sans jamais être impudique. Rose est une contradiction, un bordel adorable. Ses textes lui ressemblent, ce qu’elle ne sait pas dire, elle le chante.
Elle écrit pour elle, mais aussi pour les autres : Patricia Kaas, Tina Arena, Jenifer, Louis Bertignac, Amel Bent, Hollydays, Julie Zénatti, Martin Rappeneau… autant de personnalités qui ont eu besoin de sa sensibilité pour exprimer la leur.
Niçoise flamboyante, Keren alias Rose, débutait en 2006 en dressant La liste de ses envies inassouvies. Depuis, ses albums successifs, « Rose » (2006), « Les Souvenirs sous ma frange » (2009), « Et puis juin » (2011) et enfin « Pink Lady » (2015) n’ont cessé d’égrener les aléas d’une vie de mélancolie, une voix et une maturité de plus en plus affirmées.
Puis, elle a vécu un peu à l’écart du métier, jusqu’à le remettre en question, elle allait de plus en plus mal et beaucoup l’ignoraient.
En 2019, elle dévoile dans son premier livre, « Kérosène », et l’album du même nom, l’enfer du décor de ces années de notoriété. Keren raconte Rose pour la première fois et y avoue sa toxicomanie, sa détresse face à la vie ; un aveu au public et à sa famille qui fait que rien ne serait plus comme avant. Mais ce livre est surtout le témoin de la force qu’elle a su trouver pour surmonter ces épreuves. Les comment et les pourquoi, armée de psychologues, de psychiatres, d’addictologues, de médecines parallèles…
En 2022, elle publie un second livre, « Les montagnes roses », le journal de son combat contre le cancer du sein, diagnostiqué l’année précédente. De cette nouvelle épreuve, Rose sort grandie : elle transforme encore une lutte personnelle en un message universel qui accompagne chacun à vivre toute l’instabilité des hauts et des bas vécus par l’être humain face aux épreuves.
Elle grandit au sein des groupes Narcotiques Anonymes, se forge un corps et un psychisme plus solide en se formant au yoga et à l’ayurveda, la respiration et la méditation devenant ses armes de construction massive.
Et c’est le début de sa quête de sens. Elle recontextualise tout. L’argent, l’amour, la famille. La vie, et la mort. Tout devient évidence, elle est plus lucide, clairvoyante devant les épreuves qu’il lui reste à vivre.
Rose porte un message d’abandon, d’acceptation, qui fait du bien à entendre.
Si avec ses chansons, elle recevait déjà de nombreux témoignages de gens portés par ses mots, ses deux livres ont intensifié une volonté de partage au sein de son public mais aussi de tous ceux qui se reconnaissaient dans ces épreuves.
Ainsi, Rose donne naissance à plusieurs projets, dont un qui lui tient particulièrement à cœur : pour aider les dépendants mais aussi leur proches, une cause qui est devenue son principal objectif, elle crée « Contre-Addictions », le podcast pour les gens qui se donnent du mal pour aller bien. Elle y invite anonymes et personnalités, du Professeur Karila, aux auteurs tels que Frédéric Beigbeder, Romain Dian, ou Flora Nicol, en passant par Elodie Frégé, JoeyStarr ou Carla Bruni : tous viennent lui confier leurs défaillances, mais aussi et surtout leurs solutions.
Rose côtoie la dépendance, sur le fil, toujours prête à flancher avec ceux qui en parlent. Elle a acquis cette force de penser que tout ce qui lui arrive est une opportunité. Elle a eu plusieurs vies, mais a dû aussi mourir quelques fois pour ça… Elle sait de quoi est fait l’être humain, de contradictions, de souffrances et de sursauts de bonheur. Et elle en parle mieux que personne.
Aujourd’hui, Rose anime des débats et conférences sur ces sujets, écrit son troisième livre, se produit sur scène régulièrement et prépare son sixième album.
Jude Todd
Jude Todd est auteur compositeur interprète franco anglais (mère française et père anglais) de pop anglaise, avec des sonorités indie pop, hip hop et 80’s, inspirée d’artistes tels que Metronomy, Rex Orange County, Benee, Easylife ou encore Surfaces.
Artiste issu de la scène, il s’est notamment fait remarquer grâce à ses prestations en premières parties d’artistes tels que Charlie Winston, Videoclub, Lilly Wood & The Prick, Benjamin Biolay, Lou Doillon, Amir, Gaetan Roussel, Kyo, Louane, Alice Merton et beaucoup d’autres.
Son premier EP, «Life on the riviera» sorti le 14 octobre 2022 a reçu beaucoup de soutien notamment de la part de la BBC Radio au UK qui a choisi le single «Regular Guy’ comme Track of the week dès sa sortie.
L’EP est un mélange de plein de sonorités différentes que Jude et ses 2 musiciens écoutent : des claviers lofi, des basses et des synthés 80’s, des guitares britpop et une touche de voix gospel.
«Feels Good» et «Summer Feeling», présents sur l’EP ont été diffusés dans le Lab de Virgin Radio et la web radio pop d’NRJ.
Rose
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Rose
Rose, c’est La liste, un titre désormais classique de la chanson française ; c’est Ciao Bella, Larmes à paillettes … et près de 80 chansons. C’est une voix unique, une auteure-compositeure-interprète de 5 albums, vendus à plus de 800 000 exemplaires.
Un double disque de platine, deux disques d’or et le Globe de cristal de la Meilleure Interprète féminine (2008).
Ancienne institutrice, c’est d’une rupture que se libère le désir de faire partager ses mots. Un univers poétique, grinçant, obscur parfois. Quand on l’écoute on a l’impression de s’entendre penser, mais en mieux. Rose a le courage de se livrer dans ses chansons sans jamais être impudique. Rose est une contradiction, un bordel adorable. Ses textes lui ressemblent, ce qu’elle ne sait pas dire, elle le chante.
Elle écrit pour elle, mais aussi pour les autres : Patricia Kaas, Tina Arena, Jenifer, Louis Bertignac, Amel Bent, Hollydays, Julie Zénatti, Martin Rappeneau… autant de personnalités qui ont eu besoin de sa sensibilité pour exprimer la leur.
Niçoise flamboyante, Keren alias Rose, débutait en 2006 en dressant La liste de ses envies inassouvies. Depuis, ses albums successifs, « Rose » (2006), « Les Souvenirs sous ma frange » (2009), « Et puis juin » (2011) et enfin « Pink Lady » (2015) n’ont cessé d’égrener les aléas d’une vie de mélancolie, une voix et une maturité de plus en plus affirmées.
Puis, elle a vécu un peu à l’écart du métier, jusqu’à le remettre en question, elle allait de plus en plus mal et beaucoup l’ignoraient.
En 2019, elle dévoile dans son premier livre, « Kérosène », et l’album du même nom, l’enfer du décor de ces années de notoriété. Keren raconte Rose pour la première fois et y avoue sa toxicomanie, sa détresse face à la vie ; un aveu au public et à sa famille qui fait que rien ne serait plus comme avant. Mais ce livre est surtout le témoin de la force qu’elle a su trouver pour surmonter ces épreuves. Les comment et les pourquoi, armée de psychologues, de psychiatres, d’addictologues, de médecines parallèles…
En 2022, elle publie un second livre, « Les montagnes roses », le journal de son combat contre le cancer du sein, diagnostiqué l’année précédente. De cette nouvelle épreuve, Rose sort grandie : elle transforme encore une lutte personnelle en un message universel qui accompagne chacun à vivre toute l’instabilité des hauts et des bas vécus par l’être humain face aux épreuves.
Elle grandit au sein des groupes Narcotiques Anonymes, se forge un corps et un psychisme plus solide en se formant au yoga et à l’ayurveda, la respiration et la méditation devenant ses armes de construction massive.
Et c’est le début de sa quête de sens. Elle recontextualise tout. L’argent, l’amour, la famille. La vie, et la mort. Tout devient évidence, elle est plus lucide, clairvoyante devant les épreuves qu’il lui reste à vivre.
Rose porte un message d’abandon, d’acceptation, qui fait du bien à entendre.
Si avec ses chansons, elle recevait déjà de nombreux témoignages de gens portés par ses mots, ses deux livres ont intensifié une volonté de partage au sein de son public mais aussi de tous ceux qui se reconnaissaient dans ces épreuves.
Ainsi, Rose donne naissance à plusieurs projets, dont un qui lui tient particulièrement à cœur : pour aider les dépendants mais aussi leur proches, une cause qui est devenue son principal objectif, elle crée « Contre-Addictions », le podcast pour les gens qui se donnent du mal pour aller bien. Elle y invite anonymes et personnalités, du Professeur Karila, aux auteurs tels que Frédéric Beigbeder, Romain Dian, ou Flora Nicol, en passant par Elodie Frégé, JoeyStarr ou Carla Bruni : tous viennent lui confier leurs défaillances, mais aussi et surtout leurs solutions.
Rose côtoie la dépendance, sur le fil, toujours prête à flancher avec ceux qui en parlent. Elle a acquis cette force de penser que tout ce qui lui arrive est une opportunité. Elle a eu plusieurs vies, mais a dû aussi mourir quelques fois pour ça… Elle sait de quoi est fait l’être humain, de contradictions, de souffrances et de sursauts de bonheur. Et elle en parle mieux que personne.
Aujourd’hui, Rose anime des débats et conférences sur ces sujets, écrit son troisième livre, se produit sur scène régulièrement et prépare son sixième album.
Jude Todd
Jude Todd est auteur compositeur interprète franco anglais (mère française et père anglais) de pop anglaise, avec des sonorités indie pop, hip hop et 80’s, inspirée d’artistes tels que Metronomy, Rex Orange County, Benee, Easylife ou encore Surfaces.
Artiste issu de la scène, il s’est notamment fait remarquer grâce à ses prestations en premières parties d’artistes tels que Charlie Winston, Videoclub, Lilly Wood & The Prick, Benjamin Biolay, Lou Doillon, Amir, Gaetan Roussel, Kyo, Louane, Alice Merton et beaucoup d’autres.
Son premier EP, «Life on the riviera» sorti le 14 octobre 2022 a reçu beaucoup de soutien notamment de la part de la BBC Radio au UK qui a choisi le single «Regular Guy’ comme Track of the week dès sa sortie.
L’EP est un mélange de plein de sonorités différentes que Jude et ses 2 musiciens écoutent : des claviers lofi, des basses et des synthés 80’s, des guitares britpop et une touche de voix gospel.
«Feels Good» et «Summer Feeling», présents sur l’EP ont été diffusés dans le Lab de Virgin Radio et la web radio pop d’NRJ.